Moins de 1 de chaque 10 ont une « attaque » si souvent ; une découverte aide à définir lorsque les parents doivent s'inquiéter-Moins de dix pour cent des enfants d'âge préscolaire ont des caprices ou caprices quotidiens et la majorité de ces crises est liée à la real et frustrations momentanées auxquels font face les jeunes enfants, est des recherches récentes.
« C'est très rare que les enfants ont des crises tous les jours, » dit Lauren Wakschlag, principal auteur de l'étude, qui apparaît dans l'édition en ligne du 29 août, le Journal of Child Psychology et le journal de la psychiatrie.
Savoir ce qui est normal et ce qui est anormal chez les jeunes enfants peut aider beaucoup pour identifier plus précisément que les enfants ont besoin d'aide professionnelle et que les enfants tout simplement « agissant selon leur âge », il a ajouté Wakschlag, Vice President of medical sciences sociales de la Faculté de médecine Feinberg de Northwestern University, à Chicago.
Bien qu'il n'y a plus de preuve que les problèmes de santé mentale sont identifiables et émergent à la petite enfance, les critères utilisés pour identifier les problèmes cliniques n'ont mis au point pour les adultes ou les enfants plus âgés.
L'étude, financée par le National Institute of Mental health d'entre nous. UU., est une étape dans l'identification de ce qui est normal et ce qui est anormal au niveau préscolaire.
Chercheurs a soulevé les parents d'enfants d'âge préscolaire environ 1 500 enfants 3-5 ans, un total de cinq questions sur le comportement de votre enfant au cours du mois précédent.
Selon les rapports des parents, la majorité des enfants interrogés (83,7 %) avaient des caprices de temps en temps, mais seulement 8,6 % avait des caprices chaque jour.
La plupart des caprices étaient temporaires et émergé de façon prévisible, de fatigue ou de frustration. La colère qui s'est concrétisée « à partir de rien » ont été moins fréquents et plus inquiétant, comme qui a duré plus de cinq minutes, ce qui s'est produit avec des adultes n'était pas les parents, ou qui implique un comportement agressif.
Dans un commentaire sur l'étude Rahil Briggs, un psychologue pour enfants de l'hôpital de Montefiore pédiatrique à New York, a fait observer que « il y a certains comportements qui sont plus graves et qualitativement plus inquiétant, comme l'agression ».
En général, les professionnels et les parents doivent prendre en compte la fréquence, la qualité et la durée afin d'évaluer les caprices, dit Briggs.
Un enfant de deux ans faisant cafetières pendant deux minutes par jour est moins inquiétant qu'un enfant qui font un caprice, une fois une semaine desorganice toute la maison et le succès de sa petite soeur, dit.
L'étude est limitée par le fait que dépend des rapports de parents sur le comportement de leur enfant. Les auteurs commencent à peine relier cette information avec des troubles de santé mentale établis.
Et ne demandé que les parents sur les comportements observés au cours du mois précédent.
« Encore doit savoir pour combien de temps a passé, » dit Wakschlag. « Parfois, est née une nouvelle soeur, ou il n'y a aucune perturbation importante dans la famille, et nous pouvions voir une augmentation de ces comportements. »
Et comme toujours, tous les comportements doivent être comprises dans la contexte, a-t-il ajouté.
« Tout simplement parce qu'un petit enfant faire une de ces choses une fois ou deux ne signifie pas que vous devez vous soucier, » dit Wakschlag. « Nous essayons de fournir une base scientifique pour le bon moment pour s'inquiéter. »
Plus d'informations
La Fondation de Nemours a plus sur la colère ou la colère.
Article par HealthDay, traduit par HolaDoctor.com
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